L'on dit parfois que pour bien connaître un lieu, il faut savoir s'y perdre... J'aime bien cette idée, elle caractérise l'une des approches que je défends au sein du cabinet ANIMA : faire l'expérience de la confusion, de la perte de repères pour mieux se retrouver.
Se perdre quelque part... L'expression est sans doute exagérée car il est rare de ne pas savoir dans quelle ville ou quel quartier ou quelle région l'on se trouve. L'information est incomplète certes, mais ne fait pas de moi une personne totalement perdue. J'ai la sensation de l'être mais en réalité, je ne le suis pas. Mon impression ne reflète pas la réalité. Il me manque juste quelques informations pour maîtriser mon emplacement précis... Souvent, la sensation d'absence de maîtrise est vécue comme inconfortable. Il est alors tentant de rester sur place pour continuer de "contrôler mon monde". Cependant, cette absence de maîtrise recèle un trésor bien précieux : ce n'est que dans la confusion (ou sensation d'être perdu), que je deviens acteur de mon cheminement, les sens en éveil, les yeux grand ouverts, j'assimile de l'information, je découvre de nouveaux repères et élargis mon spectre de connaissances en tâtonnant et découvrant d'autres perspectives. Souvent, pour ne pas me perdre, j'utilise un GPS, voix rassurante qui m'endort, me guide et fait de moi le spectateur de mon parcours, sans rien retenir de ce qui est, sans la possibilité de modifier quoique ce soit dans mes connaissances, mes expériences... dans mon intériorité. Le GPS devient mon repère, suis-je pour autant en maîtrise de mon cheminement ? Ne l'ai-je pas plutôt déléguée à l'artifice d'un logiciel ? N'ai-je pas l'illusion de choisir mon chemin, mon parcours ? Cela me rassure, c'est vrai, pourtant, ai-je bien profité de mon voyage, le nez rivé à mon écran...? L'on dit parfois qu'il faut se dépouiller pour mieux se retrouver. Laisser tomber les habitudes, les certitudes ou croyances qui agissent comme un GPS auquel je me réfère sans cesse. C'est vrai, la seule façon de me trouver est de savoir où je suis... et pour cela, rien de tel que de relever la tête et prendre la responsabilité de mon chemin, en ouvrant les yeux, en écoutant, en m'éveillant à tout ce qui est. Parce que dans ce "qui est", je suis. C'est dans ce fameux lâcher prise que mes sens se libèrent, sans entrave, sans GPS pour les limiter. Et pour cela, je m'abandonne totalement, à ce qui est, sans attente, juste dans la découverte qde ce qui s'éveille en moi. C'est cela que nous expérimentons chaque jour au sein du cabinet ANIMA. Rien d'autre... ou tout cela à la fois. Ce voyage vous appelle ? Alors à très vite !
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La rentrée marque le changement...Une rentrée de plus ! Redémarrer son activité ou opérer un grand changement avec une intention de renouveau ou de continuité. Une nouvelle phase nous entraînant jusqu'aux prochaines vacances d'été, enjambant le nouvel an dans le calme hivernal. La rentrée marque le temps qui passe, immuable, le temps qui viendra et la façon dont nous aimerions l'investir.
La rentrée marque le changement. Dès le plus jeune âge : l'expérience d'une nouvelle classe, de nouveaux camarades, le passage à un degré ou niveau supérieur. La rentrée marque le changement de rythme, passant des grasses matinées à un lever plus tonique, des longues soirées d'été à jouer au coucher aux heures convenables. Le soleil, lui aussi se couche plus tôt... La rentrée marque notre changement, elle n'est pas tout à fait la même que celle de l'an dernier. Car nous avons changé, chargé d'expériences nouvelles, notre organisme a vieilli, la transformation s'est opérée, irrésistiblement. Dans la permanence de la rentrée, tout a changé, et cela ne change pas. La vie circule, constante, occasionnant un changement permanent, imperceptible souvent, majeur de temps en temps. La rentrée est le marqueur du changement, de la somme de ces micro modifications qui se révèlent chaque année en ce mois de septembre. Parfois le changement est projeté, non advenu. Il s'agira alors d'une intention pour l'année qui vient, d'un vœu, d'une résolution. La rentrée constitue cet axe majeur, autour duquel se constatent les expériences et les évolutions passées et se projettent les changements désirés. Oui, la rentrée est un changement de pensée, une rupture marquant une évolution, une maturation. J'ai l'impression que ce marqueur nous rapproche de nous-mêmes, du Grand Mystère, du Grand Tout, à l'intérieur duquel, les expériences, les intentions, les imaginaires se complètent merveilleusement pour accueillir, seconde après seconde, dans l'instant présent, dans l'instant passant, la sensation du vivant, la sensation de l'être. Je vous souhaite à tous une merveilleuse rentrée ! "Il faut bien le reconnaître, tout le monde n'a pas la même approche de l'hypnose. Certains la sacralisent, d'autres la relativisent. Je fais partie de ces hypnothérapeutes qui pensent que nous sommes beaucoup plus souvent en état d'hypnose que dans un état de conscience parfaitement maîtrisé.
Je crois en "l'intelligence du corps" et en sa capacité de réguler et rééquilibrer en profondeur son fonctionnement émotionnel et les réponses apportées. Pourvu qu'on le laisse faire... Sans l'entraver par des croyances, des peurs, des jugements du type : "le monde est comme ci, comme ça, ça c'est impossible, etc...". On se rapproche du fameux lâcher prise ! Mon métier, si je devais le résumer, est de vous accompagner à rééquilibrer votre fonctionnement en contournant le facteur critique du conscient. En clair, vous gardez le contrôle de votre capacité analytique, de votre volonté tandis que le facteur critique reste en suspens. Qu'est-ce que le facteur critique ? C'est la partie dans laquelle se trouve le jugement, c'est ce qui permet de distinguer le haut du bas, le chaud du froid, le petit du grand. Le facteur critique est le temple de nos "certitudes". Si je vous disais "allongez-vous, je vais vous opérer sans anesthésie, mais vous n'aurez pas mal", il se peut que vous partiez en courant, incapable d'accepter ma suggestion. En revanche, en transe hypnotique, ayant alors contourné le facteur critique du conscient, cette suggestion sera facilement intégrée et l'anesthésie très puissante. Sans distinction claire, dans la confusion hypnotique, les croyances et certitudes ont moins de prise et la personne peut vivre une expérience différente dans laquelle les anciens schémas sont modifiés en profondeur et orientés vers un objectif plus équilibrant. La confusion est la porte d'entrée de toute réorganisation. En hypnose, la personne est donc bien consciente, elle réfléchit, analyse, participe... et vit en même temps cette fameuse confusion, permettant d'intégrer plus facilement les suggestions. C'est cela le fameux état modifié de conscience. Un sentiment de suspension souvent assimilé à une forme d'étrangeté que certains vivent dans la relaxation la plus totale, d'autres non. L'une des clés pour contourner ce fameux facteur critique, est de lever l'ensemble des peurs. Cela passe par notre échange, par le lien que nous créons durant notre rencontre. Au fond, l'essentiel de notre travail ne réside pas dans la technique des suggestions mais davantage dans la qualité de la présence, de l'accompagnement, de notre communication. L'idée n'est pas que je connaisse tout de votre vie, mais que vous vous sentiez suffisamment en confiance pour mettre en place quelque chose d'important dans votre vie. Cette approche vous tente ? Appelez-moi au 07 69 93 33 18, nous prendrons le temps d'échanger par téléphone et fixer ensemble une séance à votre convenance. A très vite ! ""S'il vous plait ! Enlevez moi de la tête ce mauvais souvenir ! Cette envie de boire ! Ce questionnement incessant ! Ma jalousie !"
Ces demandes sont quotidiennes. Une volonté d'écarter de sa vie un souvenir, une souffrance. Comme si je pouvais me séparer de ce qui hurle depuis souvent tant d'années, comme cela, en un claquement de doigt. Je le répète, l'hypnose n'a rien de magique. Durant un spectacle l'artiste hypnotiseur peut faire oublier, temporairement, l'utilisation d'un chiffre, ou son propre prénom. Il s'agit là d'un oubli en surface, superficiel. La personne sait toujours ce qu'elle a oublié. Étrange non ? Si j'ai conscience de ce que j'ai oublié, l'ai-je réellement oublié ? Je crains au fond, que la meilleure façon d'oublier une souffrance, un souvenir, une émotion difficile réside dans la lobotomie : retirer une partie du cerveau en espérant effacer approximativement une mémoire, une sensation. Le résultat est loin d'être garanti et... vous en conviendrez, dommageable. Lorsque je décide de fuir un état d'être, lorsque je décide de fuir une souffrance, un souvenir, il se peut que j'oriente l'ensemble de ma vie autour de ce que je fuis. En d'autres termes, à vouloir absolument oublier quelque chose, j'oriente sans trop le savoir, toute mon existence autour de ce quelque chose. Et j'en souffre, toujours autant. Ne pensez pas à cet éléphant rose ! N'imaginez pas cet ours blanc avec des pois roses et des couettes ! La négation, le retrait, l'oubli volontaire ne font pas partie des capacités de notre cerveau. En général, ce que nous souhaitons oublier n'est pas totalement assimilé... pas complètement digéré. Comme si cela restait bloqué, quelque part en nous, frappant à la porte de notre état d'être à chaque occasion. Vous savez, ce truc qui reste coincé en travers de la gorge. Il s'agit généralement d'une émotion comme la tristesse, la peur, la colère (ou tant d'autres), associée à un souvenir, celui d'une situation, d'une personne. Plus je tourne le dos à mon émotion, plus elle se fait connaître, plus elle se rappelle à mon "bon" souvenir. Au sein du cabinet Anima, nous considérons cette émotion. Intégralement, sans jugement. Nous l'écoutons, la remercions et... vous la digérez, de la façon la plus assimilée qui soit, pour qu'elle n'ait plus besoin de frapper à votre porte. Cela ne signifie en rien que le souvenir douloureux sera oublié, ou encore agréable. Cela signifie que vous pourrez vivre plus sereinement, aujourd'hui, avec ce souvenir plus lointain, qui restera douloureux mais dont l'émotion n'aura plus besoin de revenir, revenir encore parce qu'elle n'est pas reconnue. Cela s'appelle "passer à autre chose", cela s'appelle surtout "passer à soi". Êtes-vous prêt à passer à vous ? Alors à très vite au sein du cabinet ANIMA Hypnose Angoulême ! Ce matin, sur un réseau social bien connu, un jeune coach partageait une photo de lui-même. Jusque là, rien d'inhabituel. En sueur, il soulevait deux haltères en mentionnant qu'avant de commencer sa journée de travail, il avait fait une heure de musculation, pris dix minutes de respiration consciente, deux à trois heures d'écriture de son livre et une heure de lecture...
En gros, "quand on veut, on peut !", et il se présente comme l'incarnation la plus inspirante de cette maxime. Impressionnant ? Non. Désespérant. Tout d'abord parce que cet étalage est violent, il renvoie au visage de ceux qui traversent la noirceur de l'existence, la culpabilité de ne pas être en mesure d'agir, de ne pas choisir le "bon" côté de la vie. Il renvoie à la responsabilité individuelle du destin. Dans une société individualiste, je suis responsable de ma destinée. Eh bien non, les choses peuvent être différentes. Je ne suis pas responsable de tout, de ce qui m'arrive, de ce qui me touche, de l'état du monde, de mes proches, de mon patron... Non, je ne suis pas responsable de l'inflation, de mon passé, de mes peurs... Il se voulait inspirant, je l'ai trouvé indélicat, vulgaire. Il affiche ses résultats comme l'on affiche les comptes d'une entreprise dans un bilan, des recettes managériales, des indicateurs "d'avancement". Le paradoxe (si je puis dire), c'est d'un côté la conscience d'un monde dont les règles sont à bout de souffle et en même temps l'application de ces mêmes règles à nos existences. On peut en deviner l'issue. J'ai été marqué par un autre aspect dans l'étalage de cette routine matinale (qui à mon humble avis n'est pas si quotidienne que cela) : c'est l'absence du rien. Où est la place laissée au vide ? Au rien ? A l'ennui si je puis dire...? La contemplation, accueillir l'inattendu, écouter les oiseaux, sentir le parfum des fleurs... Ne rien faire du tout, renoncer à l'agitation, faire émerger la créativité, l'intuition ? Oui, sans ennui, point de créativité pour une mise en action inspirante. Une vie occupée par une série d'actions n'est pas une vie dans laquelle l'émergence d'une créativité peut aparaitre. Elle est de mon point de vue, totalement, routinière et je crains qu'elle entretienne la fameuse zone de confort dans laquelle je ne me réalise pas. De cette check-list, dont chaque case était fièrement co(a)chée ressort une volonté de contrôle. De contrôler chaque détail de sa vie, chaque minute, chaque respiration. Pas d'improvisation, mais juste l'application d'un process, jour après jour, pas après pas, dans l'effort, le contrôle, la maîtrise et la confiance absolue du résultat espéré. Personnellement, je n'en peux plus du contrôle, j'étouffe dans le contrôle. Dans la mesure et la validation de l'efficacité, je fane, je m'éteins. C'est une des raisons pour lesquelles je refuse de travailler avec les entreprises, c'est une des raisons pour lesquelles j'ai fui le monde de l'entreprise. Et pour réussir ma vie, je devrais mener chaque jour une revue des objectifs ? Valider mes points d'avancement ? Améliorer mes process de réalisation ? Et sinon, que se passe t'il ? Je me ferais virer de ma propre vie ? Suis-je à ce point libre lorsque je dédie ma vie à contrôler mes avancements ? Vous devinez ma réponse. Enfin, savez-vous ce qu'est le contraire du contrôle ? Le lâcher prise... Je me suis permis de lui envoyer un mot dans lequel je lui faisais part de mes commentaires. Rien d'insultant, juste un point de vue différent du sien. Il m'a gentiment remercié avec un smiley, en insistant sur le fait qu'il avait choisi librement de réaliser ces actions et qu'en cela, mon avis était nul et non avenu. Certes. La psychologie sociale a beaucoup travaillé sur la notion de choix, sur le libre arbitre... Lorsqu'il affiche ses biceps, il nous influence, lorsqu'il coche des cases, il nous influence. Lorsqu'il communique... il nous influence (et moi aussi). Et sous la multitude d'influences que je vis chaque jour, mon choix est-il vraiment le mien ? Se cache ici le coeur de l'échec du développement personnel, du moins de ses promesses non réalisées. Sous influence permanente, mon choix n'est pas tout à fait le mien et disons le simplement, il n'est jamais tout à fait sûr, que l'objectif que je poursuis m'inspire à ce point. D'où la tendance à baisser les bras au bout d'un certain temps. Alors oui, mille fois oui, rejoignons Montaigne qui affirme que le bonheur réside dans le "faire", mais sachons également "être" en renonçant au contrôle pour faire émerger la créativité et l'élan vital de nos existences. De grâce, laissons la place au souffle, si cher à François Cheng... Quelques grammes de finesse dans un monde de brutes. "J'ai besoin de tout contrôler pour me sentir rassuré et détendu..."
Pfiouu... vaste programme vous ne trouvez pas ? Sans doute l'avez-vous remarqué, le "tout" ici mentionné est une pure illusion, un fantasme. Suis-je en mesure de tout contrôler ? Les événements de ma vie ? Les aléas du quotidien ? Mon humeur du jour ? La qualité de mon sommeil ? Les informations ? La conjoncture économique ? Le passé ? Le futur ? Au fond, la seule chose qui persiste, c'est mon incapacité à tout contrôler. Alors chercher à "tout contrôler" pour se sentir rassuré et détendu, est un projet mortifère puisqu'il fait le lit de l'existence permanente de mon mal-être, de ma peur et de mes tensions. Si j'attends de tout contrôler pour me sentir rassuré et détendu, alors j'admets que mon état permanent est la peur et la tension. Je construis donc mon existence autour de ce que je redoute et en fais ma réalité du quotidien, me poussant ainsi à encore plus "tout" contrôler... Le fameux lâcher-prise s'articule autour du renoncement. Je renonce au contrôle et par la même occasion, je renonce à tout projet, à toute pensée de maîtrise et donc à tout résultat. Je comprends que cela fasse peur. Je n'attends rien et abandonne tout espoir parce que ce dernier est l'illusion de contrôle qui me sépare aujourd'hui d'un état fantasmé. J'abandonne par la même occasion le passé et sa projection au futur. Non, rien d'autre que l'instant, dans mon corps, sans aucune attente. Juste l'expérience de l'immédiateté pour laisser surgir la vie, celle qui ne se maîtrise pas mais se vit, dans son corps, ici et maintenant. Dans le lâcher-prise, je ne m'identifie ni à ma "personnalité", ni à mes expériences, ni à mes pensées. Je renonce à m'identifier à quoique ce soit, dans le sens où j'accède à ce qui est, à ce que je suis dans mon insondable complexité. Pas si simple. L'injonction du "il faut lâcher prise" répond au besoin de contrôle. Impossible donc. Au fond, l'illusion du contrôle revient à se réduire... et à renoncer à mon infini. Ce renoncement est si douloureux que je tente de lui échapper en contrôlant davantage. Lorsque je crois contrôler, je me rejette, je m'ampute de ce que je suis. En revanche, lorsque je m'abandonne à la vie, lorsque j'incarne ma vie, il est possible alors que je me rapproche un peu de moi. Pour me sentir bien, pour me sentir heureux il peut être nécessaire de renoncer à l'espoir de se sentir bien, de vivre le bonheur, voire de guérir. Cela semble échapper à toute logique, cela semble même impossible pour nous, simples humains, sauf peut-être pour les grands sages... et encore. Mais lorsque je caresse l'espoir d'être un jour libéré, un jour rassuré, un jour heureux, alors j'invite dans ma réalité de l'instant, l'existence de l'emprisonnement, de la peur et du malheur. L'effet inverse. Et tout cela prend forme, en plus, dans un sentiment que je cherche à fuir absolument, en contrôlant "tout" ce que je peux. Le lâcher-prise ne consiste pas à vivre un état de relâchement profond mais à accueillir sans attente et sans fantasme, ce qui est, la vie comme elle est, sans se réduire à je ne sais quelle émotion, quel passé, en abandonnant les masques qui étouffent le foisonnement de ce qui vibre à l'intérieur. C'est bien cette expérience que je vous propose de vivre en hypnose. Parfois, certaines personnes attendent de vivre - par l'hypnose - un état particulier pour atteindre un objectif. Je crains que cette attente, (une véritable pression de mon point de vue) ne soit vaine. Je pense paradoxalement que l'hypnose permet justement de ne rien attendre, de se rapprocher de soi en renonçant à tout but, à tout résultat contrôlé, c'est dans cet esprit que j'utilise des métaphores, de la poésie, une forme de voyage sensitif dans lequel il n'y a rien d'autre à faire que de s'abandonner à soi. Rien de brutal, rien de forcé. Juste accueillir et accéder à cette insondable complexité pour laisser jaillir la pulsion de vie, l'élan vital en s'affranchissant de toute barrière, de toute réduction, de toute illusion de contrôle, de l'étouffement d'un contrôle permanent... Derrière les "prétextes" de nos rencontres, se cache systématiquement le désir de l'abandon à soi et à la vie. Et souvenez-vous d'une chose, lorsque je suis heureux, je ne vis plus dans l'espoir d'être heureux... A bientôt ? |
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Juillet 2024
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