Nous y sommes ! 2018 est l’année du renouveau, du plaisir, de la légèreté et de la joie ! Vous ne le saviez pas ?
Eh bien si ! 2018 sera votre année, une nouvelle année qui incarnera votre plaisir de vous lever chaque matin, pour vivre une journée agréable, une journée d’accomplissements, de satisfactions, d’avancées vers vos buts les plus importants. 2018 est l’année de vos prises de décision, celles qui permettent de marquer un avant et un après, de constater qu’il s’agissait bien d’une année à part, celle qui vous aura propulsé(e) vers de nouveaux horizons nettement plus agréables encore, des perspectives que vous n’aviez pas imaginées auparavant… Cette belle année marquera d’un joli sourire sur votre visage, le sourire d’être bien à sa place, en phase avec sa vie, en paix avec soi, juste pour respirer, s’oxygéner et profiter pleinement de l’instant, comme ça, sans rien d’autre en tête que le parfum subtil de votre détente… Cette belle année, cette nouvelle année qui sera vôtre, se conjuguera au mouvement, un temps d’avancées permettant de cheminer et de transformer l’environnement, le paysage, celui qui colore votre vie.. Notez comme 2018 se charge de couleurs chaleureuses, vives, toniques, toutes ces couleurs pour vous, en vous, des couleurs qui couvrent vos maux passés et égaient l’atmosphère, apportant son lot de chants d’oiseaux, de rires d’enfants, de surprises agréables et d’échanges heureux. 2018 est un nouveau chapitre, l’histoire d’un avenir radieux, activé par ce choix fondamental, d’être, ici et maintenant, la personne que vous désirez incarner. Sentez comme 2018 brille de mille feux et se reflète dans vos yeux, créant une étincelle, un souffle joyeux que je vous souhaite nourrissant, protecteur… 2018 est l’harmonie, un équilibre heureux entre ce que vous pensez, ce que vous faites et ce que vous ressentez, l’alignement tout en en rondeur. La sage prospérité veillant sur vous pour vous entourer de son voile si doux et insuffler cette extraordinaire vitalité au plus profond de votre être.. Observez comme 2018 pétille, un peu comme des bulles qui viendraient transformer et réveiller chacune de vos cellules, chacune de vos pensées pour les éclaircir, les vitaliser. 2018 est votre année, parce que maintenant vous le décidez, parce que maintenant il ne peut en être autrement, parce que maintenant, il est temps de passer à vous, à votre bien-être, à activer tout l’amour qui coule en vous, le ressentir, le vivre pleinement, l’accueillir encore et le partager aussi..` 2018 est votre année, l’année du « je » optimiste, l’année du « je » serein, l’année du « je » pluriel.. « Je est un autre » pour Rimbaud, alors 2018 sera encore plus « autre », totalement « autre » pour vous faire goûter plus encore les champs du plaisir, du mouvement, de la danse intime, celle que l’on vit en soi, les yeux fermés de confiance et de satisfaction.. Cette année 2018 est la vôtre, elle vous appartient, elle est généreuse et se partage, encore et encore… … et je me réjouis très sincèrement de la vivre à vos côtés. Pierre
1 Commentaire
Vivre dans le passéDevenir prisonnier du passé, en y enfermant ses sensations, toutes ses émotions dans une ritournelle conjuguée à l'imparfait... "j'y retourne, encore et encore", allant chercher je-ne-sais-quel souvenir déformé à la loupe de mes errances..."
Se complaire, se rassurer, chercher un confort en idolâtrant un passé révolu, ancêtre du changement inexorable de ces années, de l'évolution naturelle et nécessaire. Beaucoup cherchent (et trouvent rapidement) dans le passé l'explication d'un mal-être présent, orientant leur attention, leurs émotions à ces temps enfouis sous des couches d'années qui les séparent d'une réalité contemporaine. Valeur refuge pour certains, trouver dans son existence passée quelques sources de joies et de réconfort, ou ruminer sans cesse, sa douleur d'avoir connu de sombres heures dont l'écho s'amplifie au fur et à mesure que les secondes s'égrainent. Dans tous les cas, quand ce passé devient le refuge, la résidence des pensées, des observations, des interprétations, de l'imagination, alors, la personne s'écarte d'elle-même, figeant une image, sclérosant une époque et limitant sa propre évolution en la camouflant sous les soupirs de ce qui n'est plus. Ce qui EST, vit dans l'instant, vit tout court.. Vivre dans le passé, c'est le refus d'être un présent, à soi, aux autres, par peur de décevoir, de gêner, de mal faire, par peur d'être rejeté et de souffrir plus fort encore... Vivre dans le passé devient alors une stratégie d'évitement, l'évitement d'un mal peu ou mal identifié. S'offrir de ne plus souffrir, s'ouvrir à la vie et sourire au chant d'un oiseau. Le chercher, s'en repaître, encore et encore, avec détermination, honorer l'étincelle, la vie, lumineuse, qui permet de se maintenir, ici, incarné au présent. Se créer un autre passé, collectionner les jolis sons, ceux de la nature par exemple, s'illuminer de décors, aussi infimes soient-ils, en quête d'une autre vérité, celle qu'"il existe des fleurs partout pour qui veut bien les voir" (Matisse). Mort au passé ! Surtout s'il nous fait souffrir. L'accepter pour mieux le reconnaître et le passer en laissant derrière soi un héritage bien encombrant, un héritage qui appartient à d'autres, et qui nous limite, nous freine dans nos avancées, notre élan de vie. Ce n'est pas le passé qui fait de moi ce que je suis aujourd'hui.. C'est MON REGARD présent sur ce passé, et ce que je choisis d'incarner, de garder et de supprimer, qui fait ce que je suis. Alors aujourd'hui, je choisis d'être, de respirer, de vivre et de laisser loin derrière moi tous ces poids inutiles auxquels seul mon regard donne de la consistance. Je décide de tourner mon être vers l'avenir, les deux pieds bien ancrés dans ce présent aux milles merveilles. Le passé ne passe pas ? Vous décidez d'être ? L'échange, la thérapie brève vous permettront de franchir des étapes importantes dans votre évolution personnelle. Contactez-moi, je serais ravi de vous donner la main sur ce chemin. « La période de fin d’année a toujours été difficile pour moi.. je ne saurais pas expliquer pourquoi, mais s’accroche à ces jours une sensation de mal-être, de tristesse qui n’a pourtant pas lieu d’être… Je fais semblant de sourire en préparant les festivités ou en regardant mes enfants ouvrir leurs cadeaux, mais au fond de moi, je n’attends qu’une seule chose : passer à l’année suivante et savoir que 350 jours me séparent des prochaines fêtes… »
Cela vous parle ? La fin d’année est proche, les jours sont courts, les nuits et l’obscurité longues, le froid s’installe aussi surement que le plaisir des enfants grimpe au fur et à mesure de l’approche de Noël.. pourtant, à bien y regarder, nous avons aussi été enfants, nous avons aussi attendu cette période avec fébrilité et excitation, nous avons aussi fantasmé, rêvé sur des cadeaux qui peut-être n’ont jamais croisé notre vie (ils ne savent pas ce qu’ils ont manqué !). La période de Noël renvoie beaucoup sur notre enfance, sur le temps qui passe, les départs de personnes qui nous étaient chères. Cette période réveille la conscience d’une finitude, de passages, d’âges qui s’enchaînent et qui pourtant ne nous séparent jamais vraiment de ce que nous sommes, là, tout au fond de nous-mêmes… « dans ma tête j’ai toujours 14 ans… mais en fait, j’en ai 40 de plus… et Noël me le rappelle chaque année, lorsque je me sens obligé d’entrer dans un système qui ne me convient pas, acheter, consommer alors que seule la pureté de mes souvenirs m’anime.. » Noël, c’est aussi une réaction, une réaction à des journées plus courtes, plus sombres, d’un manque de lumière cruel, d’un climat plus rude, pluvieux, pas très amusant et nourrissant en vitamines ! Il est normal de se plonger dans un certain ralentissement lorsque la nature elle-même ralentit.. cela s’appelle hiverner. Néanmoins, admettons-le, nos chères enseignes commerçantes détestent le ralentissement et nous contraignent à consommer anormalement, de façon sur-dimensionnée, créant une faille importante entre nos valeurs les plus profondes et notre comportement. Voilà une vraie source de stress et de mal-être : quand j’agis différemment de ce que je ressens. Enfin, Noël, ce sont les retrouvailles, les grandes tablées, les efforts et parfois la mise au placard de rancoeur, d’amertumes mal digérées… Retrouvailles dans certains cas, solitude dans d'autres... Pour toutes ces raisons, quelques personnes ressentent un mal-être grandissant dans ces périodes dites « festives ». En cabinet de thérapies brèves, je travaille chaque jour sur la perception de situations, de souvenirs pour que mes clients les vivent dans une émotion plus appropriée, plus écologique.. pour que l’émotion douloureuse laisse la place à une émotion plus neutre, voire positive. Il ne s’agit de transformer un souvenir, mais davantage d’en neutraliser ce qui bloque et limite aujourd’hui dans l’épanouissement. Alors si vous sentez que les fêtes de fin d’année sont un rendez-vous pénible pour vous (j’ai choisi Noël comme exemple, mais j’aurais tout aussi pu développer le rapport de certains au jour de l’an !), contactez-moi, nous trouverons toujours une possibilité de travailler ensemble, tard le soir ou tôt le matin pour que vous puissiez prendre du plaisir où que vous soyez ! Belles fêtes de fin d’année… Se perdre en chemin à force de rechercher le bonheur toujours plus loin, toujours plus haut.. toujours "après"...
Beaucoup aspirent à un "ailleurs", se projetant dans la résolution de tous leurs maux lorsqu'ils auront atteint telle situation ou telle étape... Reporter le bonheur, le conditionner à un élément extérieur, le repousser sans cesse, le déifier parfois pour le rendre totalement inaccessible, inimaginable et tellement lointain qu'une vie ne suffirait pas à le rencontrer... Et si le chemin qui mène à cette perception du bonheur contenait en lui tous les trésors, les secrets qu'il révèlera à qui veut bien l'observer, avec les yeux du coeur ? Et si le chemin devenait parchemin, illustrant à chaque pas, un univers de sensations et de plaisirs que l'on déchiffre en souriant... comme l'on parcoure les pages d'un bon livre, d'une vie... Et si le bonheur ne souffrait que d'un seul temps, il serait alors le présent de notre existence et se conjuguerait simplement en le précédant d'un "MAINTENANT !" résonnant à l'infini dans l'écho d'une pensée heureuse.. Dès lors que le bonheur semble s'éloigner de moi, je me rappelle que ce n'est pas le sommet en lui-même qui est beau, c'est la montagne qui l'accueille et me l'offre si généreusement.. |
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Juillet 2024
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