Cette colère qui bouillonNe en moi...

Cette colère qui bouillonne en moi et explose si souvent...

"Je ne sais pas ce que j'ai en ce moment, mais j'explose pour un rien, je me mets en colère, je m'énerve, deviens agressif et dis toutes ces choses qui sont si dévastatrices pour ceux que j'aime..."

Je reçois très souvent en cabinet, le témoignage de personnes regrettant leur impulsivité, et souffrant de la souffrance qu'ils génèrent par des mots, par de la colère, souvent injuste...
Comment prendre de la distance ? Comment me calmer, rester mesuré ... Comment ne pas déverser cette colère surtout auprès des miens, ma famille en premier lieu... ? 

Les cris, les insultes, une forme de dureté dans les échanges s'installe et devient le mode de communication le plus utilisé au sein de la sphère privée. Comme si, dans ce rapport intime, de confiance, l'on se livrait sans aucun filtre pour déverser le mal-être qui est le sien...

"Pour un rien, un regard, un haussement de sourcils, un mot, une intonation, une attitude que je juge inadaptée, je monte dans les tours, m'enfermant dans un raisonnement absurde échappant à toute logique... Je ne contrôle rien et ouvre ma grande bouche pour parler fort, quitte à humilier l'autre..."

Avez-vous remarqué comme l'on agit différemment dans d'autres lieux ? Au travail par exemple, retenir ses insultes, son explosivité et maîtriser ses propos ? Un peu comme si l'on avait deux personnalités, d'abord celle d'une personne relativement mesurée dans un contexte formel comme le travail, et aussi celle d'une personne "hystérique", qui déverse son débordement émotionnel sur les autres... en mettant en péril ce qu'elle a de plus cher.

Dans tous les cas, je remarque que la souffrance de l'insultant comme celle de l'insulté est forte, très profonde. Un engrenage insidieux se met en place : "me sentant agressé, je me défends... te sentant agressé, tu te défends...", le lien et les rapports se construisent autour de la défiance, de la douleur, de la culpabilité, accumulant des charges émotionnelles négatives, je les déverse alors comme je peux, souvent par la colère. Mes actes, ma souffrance et celle que provoque chez les autres alimentent ma colère... Une mécanique bien huilée se met alors en place.

En thérapie brève, notamment en hypnose, nous travaillons sur plusieurs points :

1. Relâcher la pression, retirer ces charges émotionnelles, ce débordement pour souffler, se relâcher...
2. Travailler sur la prise de distance, relativiser, changer de regard et commencer à observer ce qui va bien, ce qui est bon, l'entretenir, le renforcer...
3. Utiliser la maîtrise manifestée au travail pour l'étendre à tous les environnements de la vie.
4. Développer de nouveaux réflexes, favoriser la sérénité plutôt que la colère, le lâcher prise pour ne plus gaspiller son énergie dans des disputes fatigantes...
5. Faire l'expérience de la légèreté, Cela vous dit quelque chose que de se sentir léger ?

Aussi, les anciens mécanismes de défense à ce débordement émotionnel disparaissent pour laisser la place à davantage de sérénité, de lucidité aussi et reprendre le cours de sa vie d'une façon plus douce...

Ce changement vous serait utile ? Important ? Contactez-moi au 07 69 93 33 18 et prenons rendez-vous pour une séance d'hypnose inscrite dans le respect inconditionnel de votre personne, la bienveillance la plus profonde ainsi que la confidentialité la plus totale...